Magali Berdah : Sous traitement, elle s’exprime sur le cyber-harcèlement qu’elle vit !
– Publié le 24 Déc 2022 à 15:30
Magali Berdah est de plus en plus discrète sur les réseaux sociaux. Mais comment-va-t-elle ? Elle répond sur Instagram !
Depuis des mois, Magali Berdah vit un cyber-harcèlement des plus difficiles à vivre. En guerre contre Booba, ce dernier vient de fêter sa première victoire face à la justice. Cependant, hors de question pour l’agent de se laisser faire. Magali souhaite bousculer la justice face au harcèlement vécu sur les réseaux sociaux. Regonflée à bloc, elle explique : « Je reprends ma vie en main, et je ne vais rien lâcher ! Je vais me battre comme une vraie guerrière (…) Mais maintenant, je ne me laisserai plus faire, je ne vais plus rester chez moi à me laisser mourir à petit feu ! Je vais me battre pour moi, mais surtout pour les personnes qui vivent ce même calvaire criminel ! ».
Magali Berdah : « Personne ne peut sortir indemne d’un cyber-harcèlement »
Et les harceleurs ont la dent dure et ne s’arrête pas à Magali Berdah. En effet, il y a quelque semaine, on apprend que la fille de l’agent de stars est, elle aussi, harcelée à l’école. Sur le plateau de Jordan de Luxe, la directrice de Shauna Events confie : « Je suis aidée par un psychologue. Je l’ai au téléphone à peu près deux fois par semaine et fut un temps, je l’avais à peu près tous les jours. Tous les soirs, je devais faire une séance avant de dormir pour pouvoir dormir. Personne ne peut sortir indemne d’un cyber-harcèlement en meute comme je l’ai subi […] Pour aller mieux, je suis sous traitement. Je prends des cachets. Un traitement un peu moins lourd en ce moment… ».
Magali Berdah a un tout nouvel objectif qui la maintient active. En effet, l’agent a racheté sa société à Banijay : « J’étais trop fière de pouvoir la racheter. Ça va être un nouveau départ pour moi, ça va être un nouveau challenge. Et c’est d’ailleurs ce que j’ai dit à Banijay quand je leur ai demandé le rachat. Ils n’étaient pas obligés d’accepter puisque j’étais salariée. Donc, je leur ai dit : j’ai besoin de cette opportunité, j’ai besoin de me reconstruire parce que j’ai subi quelque chose d’inhumain. ». Bravo Magali !