L’horlogerie française se bat pour survivre

Les effets d’annonce et, finalement, la faillite il y a dix jours du groupe Aiôn – qui ambitionnait de concurrencer l’industrie horlogère helvétique – ont jeté une forme de discrédit sur ce secteur dans l’Hexagone. Au risque de faire oublier que notre voisin fut, entre le siècle des Lumières et le milieu du XXe siècle une grande nation horlogère. Bien que natif de Neuchâtel, Abraham-Louis Breguet, considéré comme le père de l’horlogerie moderne, a, en effet, mené toute sa carrière à Paris. Aujourd’hui encore, le Jura français compte plusieurs écoles qui fournissent en horlogers les prestigieuses maisons suisses.

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